Illustration schématique d'une ville plastique
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Camille Ternois
Graphiste, Illustrateur
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Illustration schématique d'une ville plastique
(Infographie, illustration, affiche, interface)
On ne peut plus échapper à cette puanteur maintenant, et c’est tout l’intérêt de ce projet : visuellement représenter la ville poubelle, le monde déch[et]ant, la société absurde que l’on accepte, les villes mal organisées dans lesquelles on étouffe.
Cette cité fictive cherche à informer et schématiser l’organisation ‘moderne’ d’aujourd’hui autour des emballages plastiques et donc plus globalement du pétrole.
Sommes-nous donc prêts à casser la chaine infernale ?
Qu’est-ce que les plastiques ? Comment viennent-ils au monde ? Quelle est leur histoire ;? Quelles sont les proportions de plastiques créés, achetés, utilisés, jetés, abandonnés, déportés, stockés, brulés, recyclés ? Comment sont-ils recyclés ? De quelle manière les plastiques sont-ils dangereux ? Comment et à qui cela profite ? Comment et qui cela affecte ? Comment cela est chiffré ? etc.
En premier lieu, est venue l’idée de dessiner une ville pour pouvoir y mettre tous les éléments : extraction, transformation, consommation, traitements des déchets, recyclage, etc. Ainsi que leurs interactions entre eux, et expliquer les comments et les pourquois de la manière la plus complète possible.
Le triangle impossible est une excellente forme pour parler des liens de cause à effets, de l’effet papillon et de comment une action ou un choix peut amener à des conséquences multiples ! Sa rotation perpétuelle est également un écho au symbole du recyclage. Il est composé de trois plans ou branches qui circulent et tournent sur elles-mêmes dans le sens des aiguilles d’une montre.
L’illustration schématique va donc se contenir dans une forme donnée, et les trois étapes de vie des emballages plastiques vont ainsi communiquer entre eux, se donner et/ou recevoir des choses. Les perspectives et la gravité sont adaptées à la forme de la structure et vont permettre tout les chemins de lecture.
Ainsi une merveilleuse ville sur le modèle occidentale va naître petit à petit et vivra d’elle-même, en produisant toujours plus et rejetant encore plus, jusqu’à certainement, un jour, petit à petit, en mourir.
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(Infographie, illustration, affiche, interface)
On ne peut plus échapper à cette puanteur maintenant, et c’est tout l’intérêt de ce projet : visuellement représenter la ville poubelle, le monde déch[et]ant, la société absurde que l’on accepte, les villes mal organisées dans lesquelles on étouffe.
Cette cité fictive cherche à informer et schématiser l’organisation ‘moderne’ d’aujourd’hui autour des emballages plastiques et donc plus globalement du pétrole.
Sommes-nous donc prêts à casser la chaine infernale ?
Qu’est-ce que les plastiques ? Comment viennent-ils au monde ? Quelle est leur histoire ;? Quelles sont les proportions de plastiques créés, achetés, utilisés, jetés, abandonnés, déportés, stockés, brulés, recyclés ? Comment sont-ils recyclés ? De quelle manière les plastiques sont-ils dangereux ? Comment et à qui cela profite ? Comment et qui cela affecte ? Comment cela est chiffré ? etc.
En premier lieu, est venue l’idée de dessiner une ville pour pouvoir y mettre tous les éléments : extraction, transformation, consommation, traitements des déchets, recyclage, etc. Ainsi que leurs interactions entre eux, et expliquer les comments et les pourquois de la manière la plus complète possible.
Le triangle impossible est une excellente forme pour parler des liens de cause à effets, de l’effet papillon et de comment une action ou un choix peut amener à des conséquences multiples ! Sa rotation perpétuelle est également un écho au symbole du recyclage. Il est composé de trois plans ou branches qui circulent et tournent sur elles-mêmes dans le sens des aiguilles d’une montre.
L’illustration schématique va donc se contenir dans une forme donnée, et les trois étapes de vie des emballages plastiques vont ainsi communiquer entre eux, se donner et/ou recevoir des choses. Les perspectives et la gravité sont adaptées à la forme de la structure et vont permettre tout les chemins de lecture.
Ainsi une merveilleuse ville sur le modèle occidentale va naître petit à petit et vivra d’elle-même, en produisant toujours plus et rejetant encore plus, jusqu’à certainement, un jour, petit à petit, en mourir.
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