Monotypes de la Linaria Cymbalaria Muralis
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Camille Ternois
Graphiste, Illustrateur
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Monotypes de la Linaria Cymbalaria Muralis
(Monotype, expression plastique, édition)
C’est un tout petit truc, mais je tenais quand même à le faire connaître au monde. On l’appelle par son nom latin Linaria Cymbalaria Muralis (La Cymbalaire des murs, Linaire des murs ou Lierre des murailles) et c’est une plante herbacée vivace, originaire du sud de l’Europe et d’Asie occidentale, qui fait des toute petites fleurs violette à la fois mignonnes et élégantes.
On la trouve partout : sur la pierre, le béton, dans les jardins, sur le bord des routes, etc. Et c’est bien parce qu’elle est partout que l’on n’y fait guère attention, comme la plupart des plantes médicinales d’ailleurs (l’ortie qu’on connait bien, le chiendent, le pissenlit, la pâquerette, l’achillée millefeuille, le sureau, la mélisse, la bardane, le chardon, etc) !
Lors d’un projet au jardin des plantes, nous devions prendre la patience d’observer la flore autour de nous, et c’est en se penchant sur un coin sauvage du jardin que j’ai trouvé celle qui allait m’intéresser ! Une série de dessins faite par superpositions de monotypes à créé ces paysages verts d’où apparaissent, se dissimulent, surgissent des tâches, des formes, des fleurs Linaires roses et violettes ! Les paysages changent et le lierre des murailles court toujours, çà et là.
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(Monotype, expression plastique, édition)
C’est un tout petit truc, mais je tenais quand même à le faire connaître au monde. On l’appelle par son nom latin Linaria Cymbalaria Muralis (La Cymbalaire des murs, Linaire des murs ou Lierre des murailles) et c’est une plante herbacée vivace, originaire du sud de l’Europe et d’Asie occidentale, qui fait des toute petites fleurs violette à la fois mignonnes et élégantes.
On la trouve partout : sur la pierre, le béton, dans les jardins, sur le bord des routes, etc. Et c’est bien parce qu’elle est partout que l’on n’y fait guère attention, comme la plupart des plantes médicinales d’ailleurs (l’ortie qu’on connait bien, le chiendent, le pissenlit, la pâquerette, l’achillée millefeuille, le sureau, la mélisse, la bardane, le chardon, etc) !
Lors d’un projet au jardin des plantes, nous devions prendre la patience d’observer la flore autour de nous, et c’est en se penchant sur un coin sauvage du jardin que j’ai trouvé celle qui allait m’intéresser ! Une série de dessins faite par superpositions de monotypes à créé ces paysages verts d’où apparaissent, se dissimulent, surgissent des tâches, des formes, des fleurs Linaires roses et violettes ! Les paysages changent et le lierre des murailles court toujours, çà et là.
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